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samedi 1 juin 2013

Blog-colère autour d'un livre-colère

Ce livre est né d'un sentiment de colère partagé par un nombre croissant de citoyens, face à la crise et à la manière dont celle-ci est gérée par nos dirigeants et qui se traduit de plus en plus, au niveau européen, par le déni de la valeur la plus commune et la plus sacrée de nos sociétés : la démocratie. La politique est un métier difficile, je sais, surtout depuis que les rôles se sont inversés, et que les « marchés », c-à-d quelques centaines de personnes, dictent leur loi, via les institutions européennes, à ceux que nous avons élus. Pour les aider dans leur tâche, je leur adresse donc, modestement, un petit rappel et quelques suggestions, tout en rappelant aussi quelques victoires à mettre à leur crédit.
Ce livre (ce blog) n'est pas un livre (blog) partisan. Il s'adresse à tous ceux qui font de la politique leur métier et/ou leur idéal, toutes tendances confondues, mais aussi, bien sûr, à nous tous, les électeurs, qui décidons de leur destin.
Un texte "citoyen", en somme, qui revisite le sens du mot "démocratie" et de la fonction politique. Il n'est à situer ni à gauche ni à droite, mais bien au centre, une sorte de "centre absolu", ou ... oserais-je dire d' "extrême-centre"! C'est à mon avis le minimum que nous puissions exiger dans le contexte actuel !

(on pourra toujours reprendre ou réinventer les luttes idéologiques plus tard, il y a urgence, tous solidaires, nous sommes en guerre... et pour ceux qui ne croient pas au degré zéro, qui préfèrent un livre rouge à un livre blanc, qu'ils considèrent le livre comme un cheval de Troie, quant aux adeptes du bleu, qu'ils lisent J.E. Stiglitz, ni rouge ni vert ni blanc, prix Nobel d'économie, conseiller de Bill Clinton, auteur, entre autres, de Quand le capitalisme perd la tête...)

Il y a danger pour nous, les citoyens, et pour vous, les élus multicolores, voyez le clown italien, voyez la Le Pen, en France, et les sombres groupes qui en Grèce se trompent de cible en choisissant la plus accessible, en cassant de l'émigré dans les rues...

Ceci n'est pas (plus) la démocratie, pas plus que la pipe de Magritte n'était une pipe...

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